Une démarche axée sur les travailleurs pour réduire les émissions, augmenter la valeur ajoutée et renforcer les chaînes d’approvisionnement mondiales
L'industrie globale de l'acier, du fer et du charbon métallurgique est très polluante : au Canada elle contribue à 2 % des émissions nationales. De nombreuses aciéries canadiennes à forte intensité d'émissions n'ont pas de plans en place ou subissent des retards et un manque de clarté quant à la voie à suivre pour atteindre la carboneutralité d'ici 2050, un objectif fixé à la fois par le gouvernement Canadien et l'Association des producteurs d'acier du Canada.
Tous les scénarios présentés dans les Perspectives énergétique mondiales de l'Agence internationale de l'énergie, prévoient une baisse des revenus d’exportation, des emplois et des bénéfices dans ce secteur – la seule question est de savoir à quelle vitesse. Cette réalité peut être abordée de deux manières : l'acceptation passive ou la transition active avant que le marché ne se détourne du Canada. Les travailleur.euse.s doivent être pris en compte et ne doivent pas être laissés de côté par la transition. Il est important que la transition de l'industrie sidérurgique ne se limite pas à une simple réduction des émissions, mais qu'elle s'accompagne d'un plan global visant à renforcer les possibilités d'emploi dans de nouveaux secteurs.
Ce nouveau rapport commandé par SteelWatch et financé par la Fondation familiale Trottier propose une voie centrée sur les travailleur.euse.s pour réduire les émissions, augmenter la valeur ajoutée et renforcer les chaînes d'approvisionnement mondiales.
Lisez le rapport complet ici.